samedi 19 juillet 2014


J’aime beaucoup l’art et dans cette poste je voudrais vous parler d’un chef d’œuvre qui par son aspect allégorique et sa portée politique, il a été fréquemment choisi comme symbole de la République française ou de la démocratie.
Ca c’est l’huile sur toile d'Eugène Delacroix, La Liberté guidant le peuple, qu’il l’a réalisé en 1830, inspiré de la révolution des Trois Glorieuses qui s'est passée en 1830. Ils sont les trois journées du soulèvement populaire parisien contre Charles X, les 27, 28 et 29 juillet 1830.



L'œuvre est assez imposante (260 cm × 365 cm). Le premier plan est occupé par le corps des victimes et des blessés. Au deuxième plan les peupliers ont le regard tendus vers une femme, coiffée d'un bonnet phrygien dont s'échappent des boucles. Celle-ci est représentée en pied et occupe de fait la place principale. Elle porte un drapeau tricolore qui occupe l'axe médian de la toile. Cette femme représente le combat du peuple pour la liberté. C’est une allégorie de la Liberté et c’est aussi une Marianne, symbole de la République.

La Liberté guidant le peuple figure en France, elle prend valeur d'emblème. Son ancrage patriotique lui vaut de devenir un symbole républicain, une icône de la République. L'œuvre illustre les billets de banque de cent francs de 1978 à 1995. 



 
Au recto du billet de banque 100 francs Delacroix, l'autoportrait d'Eugène Delacroix tenant au premier plan sa palette et ses pinceaux devant un détail du tableau La Liberté guidant le peuple.

Sa valeur patrimoniale lui vaut d'inspirer de nombreuses caricatures de presses et la rend sujettes aux détournements publicitaires. En 2008, elle illustre la pochette du quatrième album de Coldplay, Viva la Vida or Death and All His Friends, référence au tableau de Frida Kahlo.





Mais qui est aujourd’hui la Marianne ? Elle est seulement une ancien souvenir à mi-chemin entre le tangible et l'idée ou elle est encore personne réelle ?
Attendez un peu et vous le pourriez découvrir dans mon prochaine poste !
A bientôt !

mardi 8 juillet 2014


Bonsoir !


Dans cette poste je voudrais parler du procès d’apprendre des nouvelles langue et si est ou non une bonne idée d’apprendre multiples langues au même temps.
Je suis italienne, je parle l’anglais, je suis dans ce cours pour améliorer mon français et je parle un petit peu d’espagnol et je voudrais l’apprendre aussi.
Ce cours donne moi la possibilité de pratiquer l’espagnol aussi parce que la majorité des mes copines parlent l’espagnol et alors, quand on apprendre un nouveau sujet en français, je cherche aussi le correspondent en espagnol, ou la règle qu’il y a dans la grammaire espagnole.
J’aime beaucoup faire cette chose parce je sens que je comprend et que je peux faire plus.
En fait, je voudrais apprendre aussi une autre langue, peut être le chinois ou l’arabe, après bien sure de connaître bien le français et l’espagnol !
J’aime pouvoir parler en autre langue, ce n’est pas un procès facile, on doit étudier beaucoup de temps, mais à la fin c’est seulement une vraie richesse !






Aujourd’hui j’ai eu une idée pour les élèves a l’école : pourquoi non enseigner plus d’une langue à la fois et particulièrement pour les langues romaines au même temps les même choses ?
Je ne sais pas si peut être une chose réale ou non, mais pour un étudiant anglaise, pour exemple, comment peut être apprendre au même temps le français et l’espagnol ?
Pour moi, très intéressant ! Bien sur, je voudrais réfléchir mieux sur cet argument parce je pense qu’il peut être utile et un moyen diversifie d’apprendre langues !
 Et vous, qu’est-ce que pensez ? Peut être une chose utile ?

mercredi 2 juillet 2014


Je voudrais vous présenter comme mon objecte cultural la masque du Carnaval de Venise.
Pour moi c’est important parce que elle représente un moment de fête avec mes amis et de tradition avec ma famille depuis que je suis une enfante.
Le Carnaval c’est une fête d’origine très ancienne, dans le Xe siècle, le peuple profitait un maximum des derniers jours précédant les mortifications du carême en se divertissant et en savourant les plaisirs et les joies de la vie.
En 1269 le Sénat prescrivait qu'on eût à considérer la veille du Carême comme un jour de fête (mardi gras).



 

Le peuple, qui aimait les fêtes et les divertissements publics, trouvait dans le carnaval l'amusement et le plaisir, mais il y trouvait surtout une liberté d'expression qui n'existait nulle part ailleurs.

On pouvait critiquer et se moquer de qui on voulait comme on voulait : pendant le carnaval, la République aristocratique devenait démocratie sous la forme du rire et de la joie.
C’est c’esprit qui il est encore vive quand je vais a Venise a célébrer le Carnaval : tout le monde, touristes, venecienne, grandes et petites, riches et pauvres avec la masque habillé sont tout égales.

Il y a seulement une règle : prendre du bon temps, rire, danser et s’amuser ensemble ! Parce que on peut être qui on voulait !
Et alors, vous êtes touts bienvenue à Venise pour le prochaine Carnaval !


Voici quelques liens qui vous donneront une idée du réel Carnaval de Venise!






Vive le Carnaval! A bientôt!